Quand l'excitant se pointe

La question qui est l'une de celles qui me touche le plus fortement est l'idée des manières dont les usagers s'imaginent fabriquer le projet d'excitation de leur sexualité par des biais qui leurs paraissent à chaque étapes un peu plus osés que la précédente.  J e veux toucher par cette idée le fait que la pratique de ce qui pourrait paraître comme une déviance  de la nouveauté semble pour beaucoup de personnes être une découverte de lieux originaux de leur sexualité. N'as t'on pas chacun, l'idée que notre adhésion à la pratique utilisée ou découverte est une sorte de transgression des acquits du passé de notre propre histoire de la sexualité? Il me semble qu'une corde, ficelle utilisée n'est que le fait de s'oser dans ce qui peut paraître le développement inévitable dû à la perte des stimulations du classisisme de l'utilisation de son corps et de par celle ci de la découverte de l'accès aux portes du l'excitation.



Ma question est la suivante:
Est il possible de développer l'idée d'une pratique sexuelle originale sans utiliser des préceptes visuels ou intellectuels existants dans mon imaginaire sans qu'ils fassent référence à des schémas connus?
Se peut il que l'on s'aime?
Aplus, les humides des lieux situés en dessous des périphéries de la lecture.
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